Cinéma

battlestar a écrit:

Un peu de gonzo peut-être...

Version Bill?

...ça n'a jamais autant donné envie de taper à la machine...



quelques (illustres) inconnus dans la ville du péché

faut dire que requiem for a dream m'a marqué , un bon film , avec de la bonne humeur , une musique joyeuse (qui reste la même juska la fin , un régal) , et puis l'histoire ^^
on va dire que la fin fait parti des happy end classique

smek* a écrit:

faut dire que requiem for a dream m'a marqué , un bon film , avec de la bonne humeur , une musique joyeuse (qui reste la même juska la fin , un régal) , et puis l'histoire ^^
on va dire que la fin fait parti des happy end classique

Exactement.
Bonne comédie populaire comme ils savent si bien les faire, aux accents burlesques du meilleur effet, qui plus est sur un système de santé américain plus en forme que jamais...
Non vraiment, ne pas bouder son plaisir, ce serait idiot tout de même.

battlestar a écrit:

Exactement.
Bonne comédie populaire comme ils savent si bien les faire, aux accents burlesques du meilleur effet,

Pour une fois, ce remake américain est plus marrant que l'original français.

Spoiler:

C'est remarquable.

keost a écrit:

Pour une fois, ce remake américain est plus marrant que l'original français.
C'est remarquable.

Oui, pour une fois que ce n'est pas l'inverse.
Remarquable est donc le mot approprié.
J'ai noté un caméo de Luis Régo vers la fin dans Requiem d'ailleurs, fair play quoi...

Rourke n'a pas eu l'oscar.
C'est la faute de battlestar.

Non ?
Qui ça Sean Penn alors ?

Bonne nouvelle.



Le membre le plus brillant de mon "Moustacle Club" privé.

Un beau compliment :

" S'il te plaît, aujourd'hui, ne fais pas ta Gloria "

Tim Roth, non pas acteur mais réalisateur ici.

Beau casting.
Ray Winstone en tête, époustouflant salaud face à la frêle Lara Belmont, époustouflante victime.

"Chronique de l'horreur ordinaire"

Admiration toute particulière pour le cinéma des pays Baltiques.
Outre Thomas Vinterberg, Lukas Moodysson, Lars Von Trier, Aki Kaurismaki, Ingmar Bergman pour les plus connus, caché au fin fond de cette bouillonnante forêt, il y a Roy Andersson.

Publicitaire de prédilection, il donna naissance à toute une ribambelle de spots aussi burlesques les uns que les autres.