Cinéma

Un petit tour dans les cartons.

Another day in paradise de Larry Clark

Sans doute le film dans la veine la plus "classique" de sa filmographie.
Au plaisir de retrouver ce dingue de James Woods en magnifique looser d'escroc à la petite semaine.
Plus il s'enfonce et se perd dans ses embrouilles, plus on aime le suivre.
Plus il se ment à lui-même et plus Melanie Griffith se mange de claques.
Plus Vincent Kartheiser est déconnecté de la réalité, plus James Woods fiche de claques à Melanie Griffith.
Plus Natasha Gregson-Wagner se déconnecte de la réalité volontairement, plus elle énerve Vincent Kartheiser qui fait disjoncter James Woods qui se venge sur Melanie Griffith à grand renfort de baffes... jouissif.

Comme ça fait du bien ... Michelle Pfeiffer

funky-mari a écrit:

Comme ça fait du bien ... Michelle Pfeiffer

Il paraît qu'elle y est magnifique dedans...

battlestar a écrit:

funky-mari a écrit:

Comme ça fait du bien ... Michelle Pfeiffer

Il paraît qu'elle y est magnifique dedans...

Elle est tout simplement superbe dedans. Les femmes de 50 ans doivent se sentir mal ...

battlestar a écrit:

Un petit tour dans les cartons.

Another day in paradise de Larry Clark

Sans doute le film dans la veine la plus "classique" de sa filmographie.

J'aime le Larry Clark photographe, Tulsa est un fabuleux reportage photographique sur la jeunesse perdue, droguée, lubrique, décadente. Il décide de ne rien cacher et instaure un malaise en noir et blanc. Ce malaise constant, des corps jeunes et nus, des corps fragiles qui semblent s'auto-détruire de page en page, plus par ennuie qu'autre chose.

Et puis le combo magique : Clark (réalisation) + Korine (scénario) + Van Sant (production) = Kids.

Une transposition de son univers dans le microcosme New Yorkais. Des jeunes skateurs déambulent dans les rues chaudes et moites de Manhattan, a la recherche de jeunes filles a baiser (et des vierges de préférences). Un des premiers films importants sur les enfants de la génération Sida aussi, plus par défaut qu'autre chose d'ailleurs. Leo Fitzpatrick est incroyable dans la peau du personnage principal, jeune blanc bec désœuvré qui trimballe son bagou et sa nonchalance.

When you are young not much matters, when you find something you like that's all you got.

funky-mari a écrit:

Comme ça fait du bien ... Michelle Pfeiffer

Stephen Frears... The Grifters c'était tellement bien



Un néo film noir, bien noir, adapté du bouquin de Jim Thompson.

Mais pour le coup, Chéri, ça sera sans moi...

keost a écrit:

J'aime le Larry Clark photographe, Tulsa est un fabuleux reportage photographique sur la jeunesse perdue, droguée, lubrique, décadente. Il décide de ne rien cacher et instaure un malaise en noir et blanc. Ce malaise constant, des corps jeunes et nus, des corps fragiles qui semblent s'auto-détruire de page en page, plus par ennuie qu'autre chose.

Petit air profil de Mickey Rourke (le vois partout chez Kollek, au pub, au jardin public, sur l'escalator de la Fnac...)



Déglutition (de l'esprit) douloureuse.

keost a écrit:

Leo Fitzpatrick est incroyable dans la peau du personnage principal, jeune blanc bec désœuvré qui trimballe son bagou et sa nonchalance.

Leo Fitzpatrick, il faut qu'il apprenne qu'avoir des amis, c'est bien mais dire oui à tout va et surtout à Steve Berra avec 7teen sips (entre autres bouffonneries), STOP.

Au plaisir de le retrouver dans un Todd Solondz



Leo, arrête la gentillesse, il est insupportable Berra sans rire.

funky-mari a écrit:

battlestar a écrit:

funky-mari a écrit:

Comme ça fait du bien ... Michelle Pfeiffer

Il paraît qu'elle y est magnifique dedans...

Elle est tout simplement superbe dedans. Les femmes de 50 ans doivent se sentir mal ...

J'irai bien le voir pour Kathy Bates aussi.



"elle ressemble vachement à la mère de...
- chut
ma pauvre, ta vie avec elle doit être...
- une tartine de merde(s) oui en effet"

battlestar a écrit:

Au plaisir de le retrouver dans un Todd Solondz

Nigger Fuck me, Fuck me Hard.

C'est marrant, j'ai revu le film ce week end.

I don't know about what happened... because once you start writing, it ALL becomes fiction.

Une rétrospective Jacques Tati à la Cinémathèque Française pour les plus chanceux



Aux portes du comique et du burlesque, c'est toujours un régal visuel.
Une impression de déjà vu ?
Normal, il en a inspiré plus d'un...

Quelques extraits pour les curieux :
Playtime