STEREOPHONICS voit le jour dans les années 90, à Cwmaman, au Pays de Galles.
A l'origine du groupe, Kelly Jones au chant et à la guitare, Richard Jones à la basse et Stuart Cable installée à la batterie.
Le groupe fait ses débuts dans les pubs et bars de la région, en reprenant les grands noms de la pop britannique, comme U2 ou les Manic Street Preachers.
Le bouche à oreille commence à faire son effet et le succès grandissant, le trio commence à composer et à jouer ses propres morceaux. Le représentant de V2 Music, qui a entendu parler du groupe, vient les voir, alors qu'ils donnent un concert à Newport, au Pays de Galles, et leur propose de signer un contrat.
Le groupe sort son premier single "Local Boy in the Photograph", qui caracolle en tête des ventes.
En 97, Stereophonics sort son 1er opus "World Get Around" qui reçoit les honneurs de la presse et du public, notamment grâce au single "Traffic".
Peu de temps après, le groupe reçoit un Brit Award et est sacré meilleure révélation pop/rock de l'année.
Leur second album intitulé "Performance and Cocktails" sort quelques temps plus tard.
Début 2000, les Gallois retournent en studio pour travailler de nouveaux morceaux. En 2001, ils sortent leur 3ème album "Just Enough Education to Perform".
Deux ans plus tard paraît "You Gotta Go there to Come Back". La même année, le batteur Stuart Cable quitte le groupe.
En mars 2005 ils sortent leur dernier album: "Language, Sex, Violence, Other ?"
Trop de couleur dans ce post. Je n'aime pas particulièrement le groupe, mais je dois reconnaitre que leur chanson Devil est plutôt bien foutue. Ils réussissent à installer une vraie atmosphère dans les premières secondes (un peu comme du Death Cab For Cutie).
Le clip est pas si mal en plus...
battlestar Mrazpedia
Nombre de messages : 2017 Age : 38 Région : Aquitaine Points : 1539 Date d'inscription : 01/12/2008
Le groupe sort son premier single "Local Boy in the Photograph", qui caracolle en tête des ventes.
Je crois que tu confonds avec "Not up to you", clip vu et revu sur toutes les chaînes à l'époque avec cette mise en scène d'accident sur autoroute si mes souvenirs sont bons... P'tit tour de vérif' sur Youtube
Mais dis donc, j'avais fini par oublier la méchante bogossitude de Kelly Jones
sally Crazy is the forecast
Nombre de messages : 490 Age : 37 Région : saint etienne Points : 198 Date d'inscription : 12/06/2006
comment dire j'ai eu une grosse periode stereophonics (kelly jones et sa voix n'y était pour rien) qui c'est un peu calmé j'ai moins aimé leur dernier album
mais bon réecouter maybe tomorrow ou dakota je m'en lasse jamais
et puis c'est kelly.....comment dire ya rien a dire en fait
keost O.Lover!
Nombre de messages : 441 Age : 25 Points : 186 Date d'inscription : 25/03/2007
Alors si la voix de Nolwenn Leroy (brrrrr m'enfin !) a des vertus anti-stress de l'autre côté de l'Atlantique, celle de Kelly Jones a de quoi griser ma ... Il reprend souvent "Angie" des Stones en concert, et là et là... chaud. Word gets around reste mon album préféré, quoique le tournant très rock sexuel de Language Sex Violence...
Dernière édition par battlestar le Jeu 12 Fév - 1:57, édité 1 fois
battlestar Mrazpedia
Nombre de messages : 2017 Age : 38 Région : Aquitaine Points : 1539 Date d'inscription : 01/12/2008
Il est assez séduisant Kelly Jones. Un sacré charme!
C'est flagrant, surtout sur cette photo, lors d'une réception en décembre dernier.
Même en playmobil, il ferait fondre tes légos, faut pas se le cacher... Je voudrais pas tourner parano, mais clique sur la vidéo youtube un peu plus haut dans ce post "Not up to you" et dis-moi à qui te fait penser le chauffeur... Mau-dite !
keost O.Lover!
Nombre de messages : 441 Age : 25 Points : 186 Date d'inscription : 25/03/2007
mon album préférée reste language sex violence j'ai adoré la tournure rock kil on pris par contre pull the pin j'ai pas du tout accroché
Le fameux Pull the pin de la discorde... Resituation : on est fin de la tournée Language Sex Violence, je trouve des billets avec un bol monstre pour l'une des dernières dates à Toulouse... Bon le Zénith, j'aime pas vraiment les grandes salles, Oasis qui partage la scène, j'aime pas vraiment l'ennui que représente un concert des frères Gallagher, je fais donc contre fortune bon coeur, je me mets au Tropicana Orange (private joke : une vague histoire de pulpe qui n'a jamais décollée...) pour oublier mes tracas. Tout ceci pour apprendre, de l'ordre d'une semaine avant, qu'ils annulent tous leurs concerts jusqu'à nouvel ordre (disparition dûe à une longue maladie dans la famille apparemment). Une semaine au taquet à draguer les fans hystériques du camp Fanta... Oasis pardon... pour revendre le ticket, le pass, que dis-je le graal presque. Et ma cape Pays de Galles à replier délicatement pour retrouver son étagère du haut à gauche dans la penderie. L'eau a donc coulé sous les ponts, Pull the pin sort et son It means nothing dans la foulée. J'ai presque envie de sortir le joker là, j'appréhende différemment cet album quand je recoupe toutes les données... et accessoirement parce-que, concernant Kelly Jones, j'ai un gros coeur de midinette.